Première Nation Lil’wat

Augmenter la confiance envers la Nation

Lil'wat First Nation

Ayant accès à plusieurs occasions économiques, les dirigeants de la Première Nation Lil’wat on vu la certification du système de gestion financière (SGF) comme un moyen de démontrer que la Nation est financièrement responsable.

Le défi

La situation géograpique de la Première Nation Lil’wat, qui est située à proximité de Whistler, en Colombie-Britannique, sur un territoire traditionnel qui englobe la magnifique forêt vierge côtière, lui procure de nombreuses occasions économiques axées sur les ressources naturelles et sur le tourisme.

Le défi consistait à tirer le maximum de ces possibilités en prouvant à la collectivité, aux associés commerciaux potentiels et aux autres parties prenantes qu’un investissement dans la Nation n’est pas une entreprise risquée.

La démarche

Les dirigeants de la Première Nation Lil’wat ont vu la certification du SGF comme une façon de tirer parti des occasions qui se présentaient de créer une économie durable pour les membres de la collectivité. La Nation voulait également améloirer les infrastructures essentielles dans sa collectivité rurale.

Lil'wat Nation received FMS Certificate

L’obtention de la certification du SGF démontre la solidité de notre système financier et de notre gouvernance. C’est la reconnaissance de tout le travail acharné accompli par la haute direction de la Première Nation Lil’wat pour s’assurer que la Nation est perçue comme une Première Nation financièrement responsable. — a déclaré le chef Dean Nelson

Le résultat

Un des plus grands avantages de la certification du SGF est qu’elle exige que le gouvernement et l’administration rendent des comptes à la collectivité. En outre, en offrant un accès à du capital selon des modalités plus avantageuses, la certification du SGF a permis à la Première Nation Lil’wat de faire le nécessaire pour ses infrastructures et de planifier pour son avenir.


L’obtention de la certification du SGF nous donne l’aisance nécessaire pour examiner d’autres besoins en vue de devenir autosuffisants et autonomes. — a déclaré Ernest Armann, directeur général.